ISRACA 5 – Introduction and Contents
This issue of the magazine of the Israeli Revolutionary Action Committee Abroad (ISRACA) is devoted to a critique of the ideological, cultural, and psychological aspects of Political Zionism.
This issue of the magazine of the Israeli Revolutionary Action Committee Abroad (ISRACA) is devoted to a critique of the ideological, cultural, and psychological aspects of Political Zionism.
The enormous apparatus of Israeli propaganda amongst Jews throughout the world now pushes the line that identification with the 'Jewish State' is the new meaning of 'Jewishness'. Since the emerging Israeli Identity has more in common with other settlers' states than with Jews, anyone who bases his identity on identification with Israel must uphold the principle of discrimination by nationality, and the placing of nationalistic morality above universal morality.
I was given the opportunity to learn that the only desirable culture was a European one, I was even persuaded at times to feel a first-class citizen, by being sent to lecture to other second-class citizens on their great fortune in helping to entrench the position of the establishment, and in creating a third-class citizenry from among the Arabs living in the country.
The whole immigration policy of Israel is discriminatory. Besides the fact that non-Jews (particularly Palestinians born in the country) have great difficulty in securing permanent residence in Israel and even more in becoming citizens, but ethnic discrimination is exercised against Jews too, according to their countries of origin.
Israel seems to do all sorts of strange things to many Jewish-American intellectuals. Nice compassionate Jewish radicals, who react quite normally to any other colonial situation, suddenly sink into sweet self-pity when Israel is concerned.
Hundreds of Palestinian Arabs, tens of Israeli Black Panthers and Israeli draft resisters and conscientious objectors are all political prisoners.
We refuse to do to the Palestinians what others did to our parents (Israeli draft resisters).
résistance palestinienne : tout est à recommencer / amman, soudan, yemen: la réaction attaque / sionisme et luttes ouvrières en israël / sur les juifs russes, sur les juifs "noirs" et sur les juifs non juifs / les yéménites / gaza : le bulldozer et le bonbon / chroniques /
Naji Allouche ; Al Fath : Abou Iyad ; FPLP ; Lafif Lakhdar.
Le plan Rogers \ Le décès de Nasser et sa succession \ La Fédération tripartite \ Le parti communiste soudanais et les massacres de ses dirigeants \ Poursuite de la liquidation de la résistance palestinienne \ Les mouvements de libération à Dhofar, Oman et les principautés du Golfe \ République populaire et démocratique du Yémen \ Conclusion : Toutes les conceptions socialistes utopiques (notamment celles qui prétendent que la lutte des classes sociales n'est pas inéluctable) ont prouvé leur faillite totale.
La seule version publiée de cette histoire était en français. On ignore dans quelle langue l’auteur, Shimon Tzabar, l’a écrit à l’origine ; si c’est en hébreu ou en anglais. La version originale n’a pas été retrouvée.
This story was published in French only, in Israc no. 6, December 1971. It is not known in which language Shimon Tzabar had originally written it, whether in Hebrew or in English; the original version has not been found. It was translated to English in July 2023 and this is its first publication in English.
Une société d'immigrants \ Une société de colons \ La diversité ethnique \ Une société privilégiée : l'afflux de capitaux \ La répartition des fonds étrangers \ L'Etat d'Israël et l'impérialisme \ Quelle est la classe dirigeante ? \ Les partis sionistes de droite \ Les dilemmes de la gauche sioniste \ La gauche non sioniste \
Lettre de Jérusalem : l'action des « panthères noires » et l'opposition entre eux et les nouveaux immigrants de Russie, révèlent de façon concrète les contradictions de la société sioniste.
Dans la société arabe, les juifs étaient un groupe privilégié qui ne s'employaient guère dans les gros travaux manuels et dont le niveau de vie était en général supérieur à la moyenne. L'effondrement de leur identité dans la société nouvelle vient de plusieurs facteurs, tels que la catégorie d'emplois qu'ils occupent maintenant et le fait que leur niveau de vie est nettement inférieur à celui des Ashkénazes. On retrouve ce même type de situation chez les Arabes israéliens, les noirs des U.S.A. et d'Afrique du Sud.
Il existe au moins un cas où on peut prouver que la ligne anti-arabe suivie par les sionistes pour mettre en pratique le slogan « conquête du travail » a conduit à l'exploitation cynique et de sang-froid d'une communauté juive donnée : les Yéménites.
« On n'a pas de force Monsieur, on n'a pas de force ! Le corps est brisé. Après vingt ans dans la plantation les muscles ne veulent plus. Les doigts sont comme morts. On rentre chez soi, on s'allonge sur le lit et on pleure. »
Un Juif d'Union soviétique a-t-il le droit d'immigrer en Eretz-Israël-Palestine ? A mon avis la réponse doit être sans équivoque NON !
En jargon israélien, quand on veut dire va au diable, on dit va à Gaza. Les quatre années d'occupation de la bande de Gaza n'ont fait que concrétiser cette expression et lui donner une actualité toute nouvelle.
Nous sommes fermement résolus de refuser notre participation dans l'oppression d'un peuple. Nous ne sommes pas prêts d'agir envers un autre de la même manière qu'on avait agi contre nos parents, grands-parents ou arrière-grands-pères.