Pourquoi Israël est un Etat raciste ‒ Moshé Machover
L’Etat d’Israël est structurellement raciste, c’est un Etat qui pratique l’Apartheid, selon la définition officielle de ce terme par les Nations Unies.
L’Etat d’Israël est structurellement raciste, c’est un Etat qui pratique l’Apartheid, selon la définition officielle de ce terme par les Nations Unies.
J'avais 17 ans en 1971 quand j'ai été emprisonné pour avoir refusé de faire mon service militaire et afrirmé mon opposition à I'occupation des territoires palestiniens. C'est sans doute l'acte de ma vie qui a le plus de sens !
Nous présentons ici deux analyses de la guerre du Liban. Les points de départ de nos amis Lafif Lakhdar et Yasser Ali sont radicalement différents, pour ce qui est l’essentiel, à notre avis, à savoir : quelle devait être pendant la guerre, et doit être aujourd’hui, l’attitude à adopter par la gauche révolutionnaire.
La tâche d'une publication révolutionnaire est de dévoiler la nature réelle et les intentions secrètes des protagonistes de cette guerre, de dire aux ouvriers que cette guerre n'est pas la leur, que les directions palestino-progressistes n'ont rien de révolutionnaire, comme une propagande droitière où se mêlent la peur et la dramatisation veut le faire croire.
Reprenant sa démagogie nationaliste et son engagement traditionnel au Liban à rebrousse-poil, la Syrie intervenait pour sauver la droite chrétienne et la droite tout court — en réalité pour empêcher les Palestiniens et la gauche de gagner.
Nous disons donc que ni l'unité arabe ni la libération nationale palestinienne ne se réalisera concrètement et complètement sans la lutte des classes exploitées contre les classes exploiteuses. En d'autres termes pas de libération nationale sans libération sociale.
La vraie question est si ce développement est susceptible d'être — qualitativement et quantitativement — d'une ampleur telle qu'il transforme le monde arabe d'un domaine néocolonial étroitement subordonné au système capitaliste mondial et aux forces dominantes, en une puissance capitaliste autonome tout comme, disons, le Japon ou la France.
Thèses sur l'intégration capitaliste du Mashrek et ses conséquences politiques.
Nous avons démontré que, même dans les pays arabes se trouvant dans la situation la plus favorable, la capitalisation des revenus pétroliers (industrialisation) est structurellement limitée par le caractère même de son développement interne.
Il y a une différence fondamentale entre la manière dont Shahak aborde l’ensemble du problème du sionisme ainsi que l’époque de son apparition et mes propres préoccupations.
Le sioniste Leibovitch veut entreprendre dans le judaïsme ce que les sionistes laïcs n'ont pu ni osé faire.
Oui, Khamsin c'est très bien, c'est nécessaire, c'est bien ficelé, dans son genre. Mais, voilà, c'est une revue trop topique : elle correspond trop exactement, dans la production journalistique ou périodique française, à une place précise.
L'agent de police a demandé de ne pas révéler son identité.
Le centre de toute notre activité : créer les conditions pour qu'on puisse vivre ensemble et lutter ensemble pour la libération nationale et sociale.
Entretien entre Saïd Hammami, représentant de l'Organisation de la libération de la Palestine (O.L.P.) à Londres, et Moshé Machover, de l'Organisation socialiste israélienne (Matzpen).
Depuis un an environ, les spéculations sur un régime autoritaire vont bon train en Israël. Nombreux sont les Israéliens qui admettent que le sionisme approche de son moment de vérité, et on commenace à douter qu'il puisse traverser l'orage sans y laisser des plumes.
Examinons dans la deuxième partie de notre discussion les répercussions de l'échec profond de la solution sioniste au problème juif sur l'évolution de la société israélienne ; l'impact des espoirs messianiques soulevés et déçus sur le judaïsme spirituel. Nous pourrions ensuite examiner les suites de la guerre d'Octobre, et terminer par un examen des conditions de la lutte antisioniste par les Palestiniens, les Israéliens et les démocrates partout dans le monde qui se sentent concernés.
Alors que tous les sionistes ne pensaient pas en termes d'Etat, tous, à quelques exceptions près, étaient d'accord pour créer une majorité juive en Palestine. Encore que la majorité des sionistes croyaient, de leur point de vue, que leurs intérêts n'étaient pas incompatibles avec ceux des Palestiniens.
Sans minimiser le danger ou le mal fait par l'intervention de l'impérialisme étranger, surtout lorsqu'il soutient le sionisme, je lance un appel à tous ceux qui luttent au Proche-Orient ou à l'étranger. Je leur demande de mettre la lutte contre le sionisme et le travail d'explication sur la nature du sionisme en priorité absolue.